Mardi 20 février, le président colombien Gustavo Petro et son homologue bolivien Luis Arce ont accusé Israël de « génocide » comme le dirigeant brésilien Lula qui, dimanche, a fait un parallèle entre l’offensive israélienne et l’extermination des Juifs par les nazis.
Déclaré la veille « persona non grata » par le chef de la diplomatie israélienne Israël Katz et accusé par lui d’une attaque « antisémite grave », Lula a été défendu par son ministre des Affaires étrangères Mauro Vieira, lequel a qualifié d' »inacceptables » et « mensongères » les déclarations du ministre israélien. De nombreux pays pointent du doigt l’État hébreu tant pour les frappes et opérations au sol faisant directement des victimes par milliers que sur l’état de siège inhumain imposé aux populations civiles broyées dans l’impunité totale par la machine de guerre sioniste.
- jeu, 26 décembre 2024